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Bibliographie

 

 

 

 

 

 

Histoire des solitudes, éditions du dernier télégramme, 2019.

 

Somme des silences, éditions Centrifuges, 2019.

 

 

Âprès, éditions Lurlure, 2018.

 

 

Ce n'est rien, Tarmac éditions, 2017.

 

 

La nuit t'a suivi, éditions Isabelle Sauvage, 2016.

 

 

Seulement la langue seulement, éditions du dernier télégramme, 2016.

 

Tout tient, éditions Littérature Mineure, 2016.

 

Rien(s), éditions Al Dante, 2015.

 

Tu voudrais ton corps avancer, éditions Derrière la Salle de Bains, 2015.

 

Tandis que, éditions Derrière la Salle de Bains, 2014.

 

Nous avons marché, éditions Al Dante, 2014.

 

Un matin tu t'es assise, éditions Polder, 2014.

 

Camar(a)de, éditions Isabelle Sauvage, 2014.

 

Paysages du corps duel, éditions Le Coudrier, 2013.

 

La malangue, éditions Vermifuge, 2012.

 

Un matin, affiche des éditions 379 , juin 2012.

 

Archipel de nerfs, éditions Chloé des Lys, 2012.

 

Ghérasim Luca : le poète de la voix. Ontologie et érotisme, éditions L’Harmattan, 2012.

 

 

 

Livres publiés :

"Yannick Torlini est un jeune poète. C'est-à-dire qu'il est jeune, et qu'il ne cesse de travailler. À 26 ans, il a déjà plusieurs ouvrages à son actif, a ouvert un blog de poésie (Tapages.over-blog.fr), chantier poétique qui lui permet de confronter son écriture à celle des autres et d'ouvrir un dialogue avec d'autres écrivain-e-s.

Il est en contact avec un grand nombre de revues, où il publie régulièrement. Et la singularité de son écriture est qu'il peut aussi bien nourrir le sommaire de revues connues pour leur engagement dans des écritures poétiques issues des avant-gardes historiques (Doc(k)s), d'autres encore qui explorent les liens entre poésie et philosophie (La vie manifeste), ou d'autres enfin, qui explorent de nouvelles expérimentations autour du poème et de ses liens avec le corps, le langage, la voix, en passant du lyrisme à la littéralité, du vers libre à la prose déconstruite. Et c'est peut-être ça, la nouvelle modernité en poésie, dans toute sa nouvelle radicalité: une écriture plurielle qui s'échappe de toutes les écoles, pour se déplier hors de tous les formalismes, qu'ils soient anciens ou nouveaux, éprouvés ou à venir...

Il travaille et creuse la langue, la "malangue" comme il dit, une langue qui comme une argile forme dans le temps de l'écriture les contours mouvants d'un "être au monde" conflictuel.

À lire Yannick Torlini, malgré la grande singularité (et maturité) de son écriture, on ne peut s'empêcher de penser parfois à Ghérasim Luca (auquel il a consacré un essai : Ghérasim Luca, Le poète de la voix : Ontologie et érotisme - L'Harmattan, 2012), mais également à Tarkos..."

 

Laurent Cauwet

 

 

 

FPM, Teste, Gare Maritime, Behind, Espace(s), Mouvement, Ce qui reste, BoXon, Dissonances, Ouste, N4728, Hors-Sol, Comme en poésie, Traction-Brabant, Doc(k)s, Barillet, Les Refusés, Chroniques errantes et critiques, Contre-Allées, Filigranes, Le Grognard, Art Matin, Lapsus, L’Angoisse, Vermifuge, Levure Littéraire, Neiges, Poezibao, Au lièvre mort, Népenthès, Poème du jour, La Grappe, Les cahiers d'Adèle, L’Angoisse, Diptyque, Résonance Générale, L’intranquille, Cahiers de Poésie, La vie manifeste, Le livre à disparaître, Place de la Sorbonne, L’Okibou 2, L’Assaut, Libr-critique, Une étoile dans la gorge, Gelée Rouge, Décharge, Phoenix, Littérales, FlorilègeLes muses à tremplinChemins de traverseLe Rince DoigtsComme en poésieIncertain regardLes Cahiers de la rue Ventura.

 

 

Publications en revues :

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